Le doute

Cette semaine je me suis posé beaucoup de questions au sujet de mon livre. A chaque fois un personnage apparaissait pour répondre à mes questions. Je me suis dit « ai-je assez réfléchie (efficacement) à mon sujet ?

Dans LGL, des auteurs indiquaient se mettre au travail quand ils ont leur texte en tête. Moi ce n’est pas le cas mais le fait d’écrire me permet de voir les difficultés. Pour couronner le tout, je n’étais pas en forme pour écrire. Donc j’ai préféré ne pas écrire que de noircir les pages pour rien.

J’avoue je ne me suis pas posé la question « quel type de livre je veux écrire », et là je me rends compte de la difficulté de mettre par écrits ses idées sans savoir le genre que l’on veut écrire.

D’un autre côté, je veux continuer à écrire de façon régulière, sinon , je vais plus rêver qu’écrire. Donc, je ne vais plus me lancer l’objectif d’un nombre de caractère précis. Ça sera un temps pour écrire et un autre pour réfléchir au genre que je souhaite ou le plus adapté à mon histoire.

Cela n’est pas trop un travail ordonné. Mais vaut mieux ça que d’arrêter le projet. C’était la première idée qui met venue. Le cerveau est fainéant. A la fin du mois de juin, je dois avoir un premier jet et je déciderai si je continue au non ce projet.

Ce projet est bien, mais je ne suis peut-être pas à la hauteur pour le moment. Je devrai peut-être me faire la main sur une histoire plus simple. Je verrai pour la suite.

Publicité

Une semaine studieuse

La semaine s’est déroulée. J’ai fait mes 1500 caractères par jour. Par contre je me suis trouvé qu’une seule fois à 7 h devant mon ordi.  J’ai travaillé à des heures très variables. Par contre, vers 18h, j’ai senti l’envie d’écrire. Est-ce du à mon projet n°1 ? Pendant ce dernier, j’ai écrit vers cette heure là pendant plus de 30 jours. L’écriture a t-elle une mémoire ? Je continuerai d’écrire comme prévu. 

En piste

Le mois de réflexion est terminé. J’aurais peut être mis plus de temps à « mâchonner » mon sujet. Je pense que j’ai mis le temps qu’il fallait à l’instant T. Avec plus de pratique, je m’organiserai de façon plus efficace. Je conserverai ce mois avec le sujet pour mes autres projets. Je suis loin d’avoir une histoire toute tracée. C’est plutôt le contraire. Je sais ce que je veux dire mais sans savoir comment le raconter. Je continuerai à noter dans mon cahier s’il le faut.

Je me lance pour deux mois d’écriture à raison de 1500 caractères / jour. Je pense, j’espère avoir « un premier jet » de cette façon. J’utilise open office sans pagination particulière pour le moment. J’ai recopié mon début de livre et une demi page manuscrite d’un grand cahier petits carreaux fait 1000 caractères. Donc avec une page on a les 1500 caractères, c’est bon  à savoir.

Je ne sais plus qui a dit :  » il faut être ce que l’on veut devenir ». Mais je vais prendre cette citation au pied de la lettre. Je suis en vacances, la semaine qui vient, et j’écrirai le matin, comme si j’étais écrivain. Je me lèverai une heure plus tard que d’habitude, vacances oblige, et serais devant mon ordi à 7h du matin. En piste comme on dit au cirque.