Cette semaine je me suis posé beaucoup de questions au sujet de mon livre. A chaque fois un personnage apparaissait pour répondre à mes questions. Je me suis dit « ai-je assez réfléchie (efficacement) à mon sujet ?
Dans LGL, des auteurs indiquaient se mettre au travail quand ils ont leur texte en tête. Moi ce n’est pas le cas mais le fait d’écrire me permet de voir les difficultés. Pour couronner le tout, je n’étais pas en forme pour écrire. Donc j’ai préféré ne pas écrire que de noircir les pages pour rien.
J’avoue je ne me suis pas posé la question « quel type de livre je veux écrire », et là je me rends compte de la difficulté de mettre par écrits ses idées sans savoir le genre que l’on veut écrire.
D’un autre côté, je veux continuer à écrire de façon régulière, sinon , je vais plus rêver qu’écrire. Donc, je ne vais plus me lancer l’objectif d’un nombre de caractère précis. Ça sera un temps pour écrire et un autre pour réfléchir au genre que je souhaite ou le plus adapté à mon histoire.
Cela n’est pas trop un travail ordonné. Mais vaut mieux ça que d’arrêter le projet. C’était la première idée qui met venue. Le cerveau est fainéant. A la fin du mois de juin, je dois avoir un premier jet et je déciderai si je continue au non ce projet.
Ce projet est bien, mais je ne suis peut-être pas à la hauteur pour le moment. Je devrai peut-être me faire la main sur une histoire plus simple. Je verrai pour la suite.