NaNoWrimo 2020

Cette année je participe au NaNoWrimo « mois national d’écriture de roman ».  C’est un défi d’écriture créative, ou on doit réaliser un roman de 50 000 mots dans le mois de novembre. Cela fait une moyenne de 1 667 mots par jour. J’ai découvert le NaNoWrimo dans le livre de son fondateur, « écrivez un roman en 30 jours » de Chris Baty et aussi dans une des vidéos de Christelle Lebailly.

J’ai envie de faire ce défi pour voir si j’en suis capable et pour le fun. Le livre de Chris Baty m’a aidé à écrire des premiers jets sans me soucier de ce que j’écris ; il appelle ça « l’histoire aux bouts des doigts ». Cette petite phrase toute simple m’a bien aidée pour écrire mon premier jet de mon histoire de science-fiction. C’est cette histoire que j’ai choisi pour mon coaching.  C’était la toute dernière des idées qui m’ait venu. Cela à été intéressant de partir d’une partie d’ADN d’histoire et pour découvrir sa carte d’identité complète.

Pour le NanoWrimo, ça sera une histoire fantastique. J’ai appliqué l’enseignement de mon maître Jedi de l’écriture pour ce nouveau projet. J’ai passé le mois d’octobre à rêvasser sur mon projet, j’ai des personnages, des décors (à découvrir) et une timeline.  Je sais quand commence mon histoire et comment elle se termine. Mais tout peut changer, car je suis un auteur paysagiste, je peux rajouter des éléments en cours d’écriture.

Pour finir, j’ai les munitions absolues recommandé par Chris : des confiseries et gâteaux en tout genre. Ça va être le mois de l’écriture et des dentistes 🙂

Publicité

Coach littéraire

J’ai découvert au détour d’une page internet, un peu par hasard, que Guy de Maupassant s’était fait aider par Gustave Flaubert pour devenir un écrivain, et grâce à lui il avait gagné des années. Je me suis dit si l’auteur de « Bel ami » avait pris un coach, pourquoi pas moi ?

J’appréciais les vidéos de Christelle Lebailly sur l’écriture, et je me suis dit : « j’ai trouvé mon Flaubert ». Mais, il fallait convaincre l’auteure de « Lulla et les monstres » d’accepter cette aventure littéraire. Je me suis dit, il faut que j’écrive pour la convaincre. J’ai mis du temps pour rédiger un beau courriel. J’ai croisé les doigts. Christelle a accepté ce défi, car elle avait eu aussi l’idée de proposer ce service aux auteurs, en plus de béta-lectrice et conseillère éditorial. Comme on dit les grands esprits se rencontrent.

Le coaching a duré plusieurs semaines avec une partie cours sous forme de modules et une autre sous forme de discutions avec Christelle.  Grâce à Christelle, je connais mieux, le travail d’un auteur, je connais mieux mes axes d’améliorations et ce que l’on attend d’un livre. Et comme pour Maupassant, j’ai pu gagner de nombreuses années et éviter les écueils. Mais, le plus important de cette formation, c’est que maintenant, je me sens plus un auteur.

Bilan année 2019

Je fais mon bilan de l’année 2019 en fin d’année 2020, c’est un peu normal vue ma régularité sur ce blog 😉

J’ai écrit beaucoup de textes courts, une soixantaine, une partie dans un temps chronométré (10 et 15 min), la technique pomodoro, en choisissant deux mots dans un livre. Et une autre partie non chronométré sur mes sujets.

Dans mes projets 2019, c’est le projet citron ou je suis allé le plus loin avec la méthode d’organisation d‘Elizabeth George. En effet, j’ai rédigé un séquencier, mais je n’ai pas écrit, car je me suis dit sur le moment que le projet n’était pas assez mur. Le temps a passé, c’était peut-être la peur d’écrire qui m’a empêché d’affronter la page blanche, plus que le projet en lui-même

En face de mon ordinateur, j’ai mis le calendrier de 2019 et j’ai coché des cases, c’est assez ludique et très visuel, je voie quand je travaille. Malgré tout, je n’ai pas travaillé tous les jours et après mes calculs de jours non cochés, j’ai fait un chèque de 200 € à la Fondation pour la Recherche Medicale. Je suis content de faire une bonne action avec mon glandage, si en plus il trouve un vaccin contre le Covid, ça sera un peu grâce à moi 😉

Il n’est jamais trop tard

On a tendance de remettre au lendemain ce que l’on veut faire, puis le temps passe et on se dit que c’est trop tard. Des mois se suivent et on fait ce constat, si on avait réalisé l’action quand on avait décidé que s’était trop tard, elle serait faite et on serait plus avancé. Comme le dit le proverbe, « il n’est jamais trop tard pour bien faire ». En effet, le domaine des loisirs privés n’est pas régi par le temps comme on peut avoir dans un travail chez un employeur ou il faut produire quelque chose dans un temps donné. Si vous avez envie depuis des années comme moi, l’envie d’écrire un livre lancez-vous. Car le véritable échec, c’est de ne pas essayer.